Fukushima, mon amour.
Je me souviens qu’il y a un an, lors de mon exposition « la Fin de l’Origine », j’évoquais avec mon tableau »Auschwhiroshima » le nucléaire et la capacité qu’a l’humanité de s’autodétruire. En ce temps-là, un volcan islandais au nom imprononçable perturbait durablement le trafic aérien, ce qui paraît aujourd’hui presque pacotille à l’aune de l’actualité japonaise.
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