C’était encore à l’époque où les encriers tachaient les doigts de leur encre violette, celle que l’on distribuait avec la bouteille au bec verseur en métal. Il s’appelait Monsieur Hersant, c’était notre “maître” mais je ne sais s’il avait une “maîtresse”. Il nous avait fait dessiner les pleins et les déliés d’un proverbe qui a imprimé à jamais ma mémoire: GUERRE A LA GUERRE. Ce qui me semble bien résumer les ambiguïtés et contradictions de ce mois d’avril 2003.
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