La fin de la peur.
C’est la raison qu’a donnée Michele Obama pour expliquer pourquoi elle avait accepté que son mari se lance dans l’aventure qui nous a valu ce fervent mercredi de début novembre. Avant de faire pont avec le passé et d’évoquer devant les enfants des écoles où je travaille le célèbre « I have a dream » prononcé par Martin Luther King le 28 août 1963, j’ai eu, dans le RER matinal, larmes aux yeux et vrais frissons au corps en lisant les témoignages de vieilles dames noires du Sud profond américain parlant de la ségrégation passée et de l’avenir soudain plus éclairé de leurs petits-enfants.
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