Dans les plis du solstice au clair seuil de l’été
S’avance un escalier aux marches éternelles
Des saisons de l’année aux douze ritournelles
Il conte de ses arches les cycles d’éternité
Dans ses hasards d’artiste la vie me joue des tours
Elle m’expose à Fierville aux murs de Normandie
Elle me sculpte en Bourgogne aux abords de Cluny
Firmament d’Escalier sous le ciel de Matour
À l’art des palissades les enfants ont tissé
Les couleurs du quartier bien trop vite effacées
Peut-on au Beau du Monde estomper les dégâts ?
Aux élèves des écoles les maîtres ont distribué
L’appel à s’inventer, le saut imaginé
Un tremplin estival, parfum de seringua…
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