…« En voyant ces braves pandores
Être à deux doigts de succomber
Moi j’bichais car je les adore
Sous la forme de macchabées
De la mansarde où je réside
J’excitais les farouches bras
Des mégères gendarmicides
En criant hip hip hip hourra ! »…
C’était le matin du 28 octobre, sur la route entre Nantes et Belle-Île
L’officielle Radio FranceInter tambourinait comme les autres médias l’anniversaire des émeutes et le petit Big Karcher continuait à matraquer sur les ondes sa dépressive répression sans issue. C’était la veille du vingt cinquième anniversaire de la mort de Tonton Georges (on ne peut ici parler de disparition puisque si grande est encore sa présence) et dans le poste, on évoqua soudain un chanteur chilien populaire, Eduardo Perralta, qui a adapté là-bas l’oeuvre de Brassens.
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